Psychologue & psychothérapeute
Patricia Serin
Quelle est votre formation ?
Ma formation est tout d’abord universitaire : un DESS de Psychopathologie Clinique et des unités en sophrologie et en hypnothérapie. Puis, de très nombreuses formations, débouchant en 2002 par l’obtention du CEP (Certificat Européen de Psychothérapie) et en 2013 sur la certification par l’Agence Régionale pour la Santé.
N°Adeli : 929306447
Mes formations spécialisées : psychologie analytique jungienne, onirothérapie, psychogénéalogie, Thérapie systémique (ATFP C.Gammer), psychothérapie d’enfants, somato thérapie, accompagnement de fin de vie, sophrologie, hypnose, EMDR. J’ai suivi des séminaires psychanalytiques avec JD Nasio, un cycle de formation en Maternologie (JM Delassus) et des supervisions avec « la Cause des Bébés ».
Mon approche est donc multi référentielle. Chaque personne est unique et je m’adapte aux besoins et à la demande du patient, quel que soit son âge et son parcours. Ma pratique est indissociable des principes fondamentaux de la déontologie du psychologue : neutralité, bienveillance, respect. J’interviens en cabinet libéral et en partenariat avec des associations.
Comment est né votre cabinet ?
J’ai eu la chance de rencontrer le métier de psychologue à l’âge de 15 ans lors d’un stage de 3ème dans un EMP (externat médico-pédagogique). Déjà un effet de ce hasard dont j’ai par la suite appris qu’il n’existait sans doute pas. Ce fut comme une révélation et une évidence.
Une expérience de mort imminente à 19 ans m’a vivement sensibilisée aux états de conscience modifiée ; ce fut le thème de ma thèse de fin d’études. C’est donc très naturellement que je me suis orientée vers une analyse jungienne parallèlement à une formation en musicothérapie, en hypnothérapie et en sophrologie pendant mes études universitaires. Je poursuis encore actuellement une formation spécialisée en Hypnose à l’IIHS.
Ancienne compétitrice et animatrice sportive, je conserve un intérêt tout particulier pour la psychologie du sport.
J’ai ouvert assez vite mon cabinet à l’issue de mes études grâce à la sophrologie et à l’hypnothérapie. En parallèle, j’occupais des vacations en milieu hospitalier (psychiatrie et pédiatrie), en institutions privées, et je donnais des cours de psychologie dans une école de préparation aux études médicales et paramédicales. Aujourd’hui, j’interviens en cabinet libéral et en partenariat avec des associations ; cette part bénévole de mon activité me permet de rencontrer une population qui n’aurait jamais songé à consulter un psychologue ou même pu se le permettre. C’est à ce titre que je co-anime des groupes d’accueil et d’écoute d’expériences transpersonnelles.
Quels sont les outils théoriques et les approches que vous proposez ?
Ces dernières années, les neurosciences ont abondamment contribué à simplifier l’accès à son inconscient et aux soins psychothérapeutiques. J’ai ainsi bénéficié de l’apport des techniques de mouvements oculaires qui ont enrichi ma pratique de l’hypnose, de la sophrologie et de la méditation. Il s’agit d’effectuer une désensibilisation simultanée des trois corps affectés (mental, émotionnel et physique) : on efface des blocages qui perturbent le processus naturel et quotidien d’intégration des informations.
Cela n’empêche pas d’analyser le contenu de la perturbation si on y associe un travail analytique, mais le soulagement des symptômes invalidants est souvent rapide et efficace. La voie est ouverte pour engager une thérapie avec des états élargis de conscience : le rêve éveillé libre ou dirigé par exemple, au cours duquel l’inconscient livre le fruit de quelques uns de ses mystères et de ses ressources cachées.
Si la sophrologie et la relaxation mettent l’accent sur la détente physique, elles peuvent déboucher sur une véritable thérapie psychocorporelle. Moins somatiser, ne plus être angoissé pour « un rien », c’est aussi comprendre l’origine de ses symptômes physiques, de mettre des mots sur les maux. C’est découvrir les mécanismes inconscients qui poussent à la répétition de schémas destructeurs.
La thérapie flash*
Est une thérapie brève dont le principe est l’analyse du contenu du sac à mains associé à des tests de personnalité.
Gestion du stress
La gestion du stress est également un des fondamentaux de mon travail ; Avant d’arriver au « burn out » ou « excès de surmenage » et à partir d’exercices pratiques et d’entretiens, chacun découvre sa stratégie personnelle pour faire tomber la pression, lâcher-prise, à avoir un regard plus objectif et positif sur soi, décoder les signes somatiques précurseurs, recadrer un problème, s’affirmer et mieux communiquer.